ZFE à Lille : Pour une ville libre et prospère !

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) soutenues et défendues par la gauche lilloise (La majorité socialiste et communiste de Martine Aubry et les écologistes) sont une illustration parfaite de politiques restrictives et punitives qui freinent le développement économique et la liberté des Lillois. Plutôt que de nous enfermer dans des solutions idéologiques, il est temps de repenser notre approche pour favoriser une ville dynamique, ouverte et prospère, et de proposer des solutions alternatives.

Une restriction inutile et contraignante

Les ZFE imposent des restrictions sévères sur la circulation des véhicules en fonction de leur niveau d'émission. Si la protection de l’environnement est une priorité, les ZFE ne sont pas la solution adaptée. Les ZFE, en interdisant l'accès à certains véhicules dans des zones déterminées, risquent d'exclure de nombreux Lillois de leurs propres quartiers. Ces mesures frappent particulièrement les familles à revenus modestes, qui ne peuvent pas se permettre d'acheter des véhicules plus récents et moins polluants.

Ces zones punitives pénalisent également les travailleurs, les artisans, et les petites entreprises qui dépendent de leurs véhicules pour leur activité quotidienne. Au lieu de soutenir notre économie locale, elles freinent l'initiative et alourdissent les charges pour les Lillois.

Un impact économique négatif

L'application des ZFE va à l'encontre de la liberté économique dont Lille a besoin pour prospérer. Les commerçants et les artisans, déjà fragilisés par les crises récentes, se voient déjà imposer des contraintes supplémentaires qui menacent leur survie.

En rendant difficile l’accès au centre-ville pour de nombreux clients, ces mesures risquent de vider un peu plus nos rues et nos commerces.

Pour que notre ville reste attractive, nous devons encourager l’activité économique, pas la restreindre.

Des alternatives pragmatiques et efficaces

Plutôt que de céder à des mesures punitives, il est essentiel de mettre en place des solutions pragmatiques et efficaces pour améliorer la qualité de l’air. Nous devons investir dans des infrastructures de transport en commun modernes et accessibles pour tous. Cela inclut l'extension et l'amélioration des réseaux de bus, de tramways et de métros, avec des fréquences accrues et une meilleure couverture géographique pour desservir efficacement tous les quartiers et communes de la Métropole. Des transports en commun fiables et de qualité réduiront la dépendance à la voiture individuelle, diminueront les embouteillages et contribueront significativement à la réduction des émissions polluantes.

Il est crucial de promouvoir le covoiturage et les solutions de mobilité partagée. En mettant en place des plateformes locales et en soutenant les initiatives existantes, nous pouvons encourager les citoyens à partager leurs trajets quotidiens. Cela non seulement réduit le nombre de véhicules sur les routes, mais favorise également la convivialité et la solidarité entre les usagers.

L’adoption de véhicules électriques et hybrides doit être encouragé. En offrant des aides financières pour l'achat de véhicules moins polluants et en mettant en place des avantages fiscaux, nous pouvons rendre ces options plus attrayantes et accessibles au plus grand nombre. La gratuité du stationnement payant élargi à toute la ville pour les véhicules peu ou non polluants par exemple (comme à Toulouse). Parallèlement, le développement d'un réseau de bornes de recharge rapide et abondant est indispensable pour soutenir cette transition vers une mobilité plus propre.

La liberté de choix pour les citoyens

L’imposition des ZFE est un exemple de paternalisme qui ignore la réalité quotidienne des Lillois. Les habitants de notre ville doivent avoir la liberté de choisir les solutions de mobilité qui leur conviennent le mieux, sans être pénalisés par des restrictions arbitraires. En valorisant la liberté individuelle et en faisant confiance à l’intelligence et à la responsabilité de chacun, nous pouvons trouver des solutions plus justes et plus efficaces. De plus, la part de véhicules polluants circulants dans notre métropole diminue mécaniquement chaque année.

Pénaliser dès le 1er janvier 2025 celles et ceux qui ont besoin de plus de temps pour changer de véhicule, sans leur offrir d'alternatives, n'a pas de sens, si ce n'est celui d'être cynique envers les plus fragiles.

Pour une ville prospère et libre

Lille mérite mieux que des politiques restrictives et punitives. En refusant les ZFE et en adoptant une approche basée sur la liberté économique, la gestion pragmatique et la participation citoyenne, nous pouvons construire une ville dynamique, prospère et attractive.

Lille au cœur défend ces valeurs et à proposer des alternatives concrètes pour une mobilité durable et respectueuse de tous les Lillois.

REJOIGNEZ-NOUS !

Pour aller plus loin :

• Une consultation des habitants de la Métropole Européenne de Lille est en cours jusqu'au 21 juillet minuit. Donnez votre avis, participez !